La mauvaise foi ne suffit pas.

Cinq ans de gestion socialiste expliqueraient les difficultés de la municipalité à obtenir des prêts des banques.

La vérité c'est que les banques ne prêtent à plus personne. 

Les banques ne se soucient pas de l'étiquette politique d'une collectivité pour accorder des prêts. Les banques n'ont aucune conscience citoyenne car les banques n'obéissent qu'à un seul ordre : celui de la finance et du profit.  

Aujourd’hui l'ensemble des collectivités, toutes couleurs politiques confondues ont les mêmes difficultés à obtenir des prêts pour investir. Car les banques ne prêtent qu'aux riches…

Pourtant une saine gestion a déjà permis d’atteindre des résultats significatifs : la Gauche a réduit en quatre ans la durée nécessaire au désendettement de la commune de 96 à 19 années mais c'est encore trop pour les banques et il faudrait que la ville parvienne à 10 ou 12 ans pour que les banques acceptent enfin d'accorder des prêts.  

Il faudrait développer des arguments, des propositions réalistes plutôt que de tirer sur l'ambulance. Non ce ne sont pas les politiques qui sont en cause, c'est bien la finance qui a été sauvée par la puissance publique et qui se montre aujourd'hui bien ingrate en mettant cette dernière en porte-à-faux et en se retournant contre elle. Mais cela n’empêche pas les élus de terrain d’agir pour les citoyens et d’obtenir des résultats malgré tout.

Alors soyons fier et disons le : la gestion de gauche à la Seyne a permis à l’office public de l’habitat Terres du Sud Habitat d'être en équilibrée budgétaire depuis 4 ans. Cela faisait 25 ans que cela n'était plus le cas. La gestion de gauche d'un outil public comme TSH a même permis d’obtenir la Marianne d'or pour l’OPH de la Seyne, une distinction qui existe depuis 30 ans et qui n'avait jamais été attribuée à un bailleur social depuis sa création !

Fier d'une gestion de gauche au service des citoyens avant tout.

C'est aussi cela la politique du bon sens. L'efficacité dans le travail politique et une certaine modestie dans la communication. Peut être à tort...